Faux juste

Faux juste, l’injuste, l’injustice
De tromperie et d’iniquité sont ces vices
Qu’il prône en suprématie
Au sommet de son perchoir
Posture au visage de bienfaiteur
Il amadoue les egos
Par des discours enjôleurs
Qui les formatent d’illusions
Avec son intelligence artificielle
Science qui matérialise les coeurs
En pierres

Victimes sont les peuples
Proies de cet art au surnom de système
Système ou l’égalité à des préférences
Pour les plus aisés
Et de la négligence
Pour la pauvreté

Société ou les promesses sont des appâts
Aux odeurs de tromperie, pour les attentes
Et au goût de déception, pour l’espérance

Au désespoir les désespérés !
C’est la devise de l’opposition
Les maintenir dans son cercle vicieux
De mal être

Grâce à Dieu, son Verbe révèle par sa Lumière
Les agissements de ces obscurs démons
Qui hantent les quotidiens
Comme l’ombre qui habite les êtres

Faux juste, en je suis, il y est
Résidant en premier lieu dans le for intérieur
Il demeure en l’égo, l’obscur néant
Et rayonne en notre coeur, l’amour de la vie

Que l’ignorance se réveille de ce sommeil
Provoqué par la ruse du déchu
Qu’elle se connecte à sa spiritualité
Chaînon manquant qui réalisera
Sa vérité d’être

Qu’elle épouse les lois divines de Dieu
Gravées, que recueil son coeur
Lois établies pour le bien-être des destinées

Maître du dessein de la vie
Dieu seul rétablira sa justice lumière
Dans l’obscur monde, lieu où demeure
Ces acteurs aux rôles d’égocentriques
Dictateurs

Pour notre meilleur, cessons de cautionner
La bête/ise qui est en nous
Illuminons la plutôt, d’amour de Dieu.

                                                            L. H. L.

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