Trois courts récits sur les mères écrits par trois écrivains autochtones océaniens : Luc Enoka CAMOUI, Georges Waixen WAYEWOL, Setefano VANAI.
Ici le travail de la langue exprime un rapport tendu, maltraité, déstructuré du lien singulier à la mère. Par conséquent, de la relation que les auteurs kanak et futunien entretiennent avec la langue française.
Les textes font parler chacune des voix par de-là « domination masculine » et « pouvoir colonial blanc ».
Co-édition :
Expression (Nouméa) et la courte échelle.éditions transit (Marseille)
Source : https://www.lautrelivre.fr/
Votre commentaire